LE SUROIT, à Saint-Georges-d’Oléron,
Mieux qu’un grand hôtel de plein air
Un camping, un vrai, comme nous les aimons.
Pas d’allées tirées au cordeau, pas de places au carré, pas de perspectives bloquées, mais un environnement ombragé propice à notre imagination vagabonde.
Des emplacements différents et variés qui épousent les formes du terrain, qui respectent la végétation, qui sont accessibles aux caravanes et aux camping-cars, et qui pour certains sont dédiés uniquement aux toiles de tentes. Un petit village de chalets et de mobile-homes, qui se niche au pied de la dune.
La décoration et l’entretien soigné jusque dans les moindres détails témoignent d’une attention particulière au bien-être et au plaisir des vacanciers.
Rien d’étonnant à cela car ce sont les propriétaires eux-mêmes qui, toute l’année, sont à pied d’œuvre et qui nous accueillent dans leur camping au retour de la belle saison.
On y croise parfois les grands-parents qui ont passé les rênes à Valérie et Patrick, leurs enfants, et les petits-enfants sont déjà là prêts pour assurer la relève.
L’ambiance familiale et la convivialité sont au rendez-vous mais le professionnalisme ne le cède en rien à la gentillesse.
Il s’agit bien là d’un camping 4-étoiles ouvert sur son temps et sur le monde avec tous les équipements et services, en qualité et en nombre, que l’on est en droit d’attendre de ce type d’établissements : piscine couverte, aires de jeux, restaurant/bar, supérette, sans oublier les sanitaires très confortables avec mention spéciale pour les lavabos et les douches particulièrement spacieux… mais aussi Internet avec la Wifi, la location d’une voiture de courtoisie, les viennoiseries le matin et les plats à emporter dans la journée, les multiples animations en haute saison…Tout y est. Que du bonheur à qui mieux mieux…
Ni trop grand, ni trop petit, le SUROIT est resté au fil des ans un camping à taille humaine, un camping comme nous les aimons.
Maintenant, à notre âge, nous préférons y venir en basse saison ; au printemps quand le camping s’éveille à la nature, en automne quand il reprend son souffle après les ardeurs de l’été.
Avec mon épouse, nous nous y ressourçons en bord de mer, à la lumière si douce et aux paysages si reposants de l’île d’Oléron.
Le SUROIT, chaque année on y revient.
Comme dans la chanson « Il suffit de passer le pont… ».
Françoise et Alain